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Le dernier Panache

Les guerres de Vendée

   Aux heures les plus sombres de la Terreur, la Vendée tremble et se révolte.  Le Puy du Fou nous raconte comment les  paysans n’acceptent plus le joug et les exigences de la Convention, ils se choisissent un chef: ce sera  François Athanase  Charette de la Contrie. Lieutenant de vaisseau, il connait mieux la mer que la guérilla mais il accepte de prendre la tête de cette armée en guenilles  armée simplement de faux et de fourches.

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La convention décide

  « Soldats de la Liberté. Il faut que les brigands de la Vendée soient exterminés avant la fin du mois d’octobre :
   Le salut de la patrie l’exige ; l’impatience du peuple français le commande ».

  Quelques jours plus tard, des ordres précisent que par « Brigands » on entend tous les habitants résidents de Vendée, Bleus et Blancs confondus, et qu’il faut de préférence éliminer les femmes, « Sillons reproducteurs », et les enfants, « Car futurs brigands ». 
  Ainsi, les vendéens ont été exterminés, non pas pour ce qu’ils ont fait ou pour ce qu’ils croient, mais pour ce qu’ils sont, du simple fait qu’ils existent.
  Les faits qui en découlent ont tous les critères de la définition internationale d’un génocide établie en 1945.

  Cette répression terrible de la Convention mettra la Vendée à genou. 

  Il en résulta 300000 morts: hommes femmes et enfants.

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  Charette fut passé par les armes le 29 mars 1796 à Nantes 

  « Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais ».


  Les acteurs et cascadeurs du Puy du Fou nous restituent cet épisode de l'histoire de France ou l'émerveillement et l'émotion président. 

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